Cela faisait un moment que je n'ai pas posté un article ici... Dur de concilier les choses qu'on a à faire dans la vie et de trouver du temps à se consacrer pour le blog que j'ai dû malheureusement délaisser un peu. Je vais essayer de rattraper un peu le temps perdu !

J'ai trouvé une vidéo publicitaire datant de 2001 pour la marque de vêtement Gap qui m'a bien fait sourire ! On peut apercevoir les Daft Punk et une certaine actrice du nom de Juliette Lewis. Cette dernière a joué dans "Basketball Diaries" (1997) ou encore "Starsky & Hutch" (2004).

Un jour historique pour la France et pour Marion Cotillard. Après le Golden Globe, le Bafta ou encore le César vendredi dernier, la comédienne française a décroché l'Oscar de la meilleure actrice dimanche soir à Los Angeles pour son rôle d'Edith Piaf dans "La Môme" (pour les pays étrangers "La vie en rose"), devenant la deuxième française à obtenir ce titre après Simone Signoret en 1950 pour "Les Chemins de la haute ville". Si Marion Cotillard n'est pas la première française à obtenir cette récompense, c'est la première fois dans l'histoire des Oscars qu'une actrice étrangère jouant dans un film tourné dans une langue étrangère est récompensé.

Très émue, Marion Cotillard a simplement déclaré "merci, merci" en serrant sa statuette dorée dans les mains. "Maître Olivier Dahan, tu as bouleversé ma vie, vraiment", a-t-elle déclaré à l'adresse du réalisateur français de "La Môme". "Merci à l'amour! C'est vrai, il y a des anges, ici dans cette ville...", a-t-elle conclu avant de s'effondrer, en larmes, dans les bras de Forest Whitaker qui lui remettait son prix. "J'ai dédié ma vie à ce film et à Edith Piaf pendant des mois. Donc je n'ai  pas eu de vie. Et quand le film s'est terminé, je me suis rendue compte que je n'avais plus eu de vie, et je ne savais pas comment y revenir", a raconté Marion Cotillard dans la salle de presse des Oscars, encore sous le coup de l'émotion. "Je suis complètement submergée par la joie. J'ai avalé des étincelles et des feux d'artifice!", a-t-elle plaisanté. Et appelée à chanter sa chanson préférée de Piaf, elle a répondu : "Ce serait  Padam!", avant d'entamer le morceau pour les journalistes (voir ci-dessous).

La France, qui était représentée en force, repart avec deux autres prix : l'Oscar du meilleur maquillage pour "La Môme" d'Olivier Dahan et l'Oscar du meilleur court-métrage pour "Le Mozart des Pickpockets" de Philippe Pollet-Villard, déjà lauréat depuis vendredi du César.

Pour commencer : bonne année à tous !

J'ai eu le temps d'écouter de nombreuses musiques durant mon séjour de l'autre côté de la Manche. Et parmi elles, je suis tombé sous le charme d'une femme avec une voix de diva, des yeux de velours, un physique sublime et surtout un charisme extraordinaire : elle s'appelle Leona Lewis. Née le 3 avril 1985, elle était la gagnante de la saison 3 de l'émission X-Factor (l'équivalent de la Nouvelle Star chez nous).

Son deuxième single Bleeding Love, écrit par Ryan Tedder et Jesse McCartney, tiré de son premier album Spirit, est en train de cartonner dans les charts anglais (1er) et déjà un succès très prometteur en France.

Ci-dessous, je vous laisse la magnifique performance de Leona Lewis au X-Factor sur Bleeding Love. Un vrai régal pour nos oreille !

Rémi Gaillard a encore fait des siennes ! Il a décidé de nous montrer la face rebelle du père Noël ! Je vous souhaite un bon moment de détente devant la vidéo et un joyeux Noël à tous !

Enfin revenu de mon voyage en Angleterre pour refaire une petite santé à mon blog délaissé depuis mon départ (je tiens à remercier tout les gens qui m'ont soutenu durant mon séjour):

Un navire marchand vieux de huit siècles a été hissé samedi hors des eaux de la mer de Chine méridionale, avec à son bord des objets susceptibles de confirmer l'existence d'une ancienne voie maritime commerciale qui reliait la Chine à l'Occident.

Ce navire de bois de 30 mètres de long, qui renferme des milliers d'objets en or, en argent ou en porcelaine, a été remonté sur une barge, dans une sorte de cage d'acier aussi haute qu'un bâtiment de trois étages. La télévision nationale chinoise a retransmis l'événement en direct.

Baptisé le "Nanhai n°1" ou "Mer de Chine méridionale n°1" par les archéologues, le navire a été découvert en 1987 au large des côtes de la province du Guangdong, à une profondeur de 30 mètres. Il gisait enseveli sous une couche de deux mètres de vase.

Le Nanhai n°1 va être remorqué vers un musée construit spécialement pour lui à Canton, où il sera immergé dans un réservoir surnommé le "palais de cristal", dont la température et la pression de l'eau seront les mêmes que celles qu'il a connues pendant ses huit siècles de sommeil.

Le musée devrait ouvrir ses portes d'ici la fin 2008. Les visiteurs pourront observer le navire par des hublots pratiqués dans les parois du réservoir géant.

Plus de 4.000 objets ont été retrouvés à son bord, écrit l'agence de presse Chine nouvelle. Il est l'un des plus anciens et des plus grands navires marchands jamais retrouvés en Chine.

De même, 6.000 pièces de monnaie en cuivre de l'époque des Song (960-1279) ont été retrouvés, datant du temps où le bateau avait été construit.

Le Nanhai pourrait apporter la preuve de l'existence d'une ancienne "route de la soie maritime" qui reliait les provinces chinoises du Guangdong et du Fujian à l'Asie du Sud-Est, à l'Afrique et à l'Europe, à l'image de la route de la soie, terrestre, qui reliait l'Empire du Milieu à l'Occident via les steppes de l'Asie centrale.

Voilà le grand jour est arrivé ! Je poste mon petit article avant mon départ en Angleterre, plus précisément à Stanwell. Mais pour y rejoindre je vais devoir avant tout prendre l'Eurostar à la gare du Nord de Paris pour arriver à la station Waterloo (Londres) et je dois encore prendre un autre train en direction de Feltham (j'espère que je ne vais pas prendre le mauvais train ou aterrir dans la mauvaise gare).

Je pars 6 semaines dans le cadre de ma Période de Formation en Milieu Professionnel (surtout ne pas dire stage en Bac Pro...). J'ai eu la chance de trouver un stage là-bas grâce à l'entreprise de ma première formation (on doit en effectuer 3 dans nos 2 années de Bac Pro). Je serais revenu d'ici les vacances scolaires de Noël...

Donc je souhaite un bon courage à tout ceux qui vont au travail ou à l'école !!! (Rooo comme je suis méchant !)

Au terme de trois semaines de travail à l'Atelier, Chérifa remporte enfin l'aventure Popstars 2007 !

Après le clash entre les membres du jury, on pensait que la décision aurait été difficile à prendre.

Les 8 finalistes encore en lice ont ainsi pu avoir la surprise d'entendre que ce n'était, non pas un groupe, mais un artiste solo qui avait été choisi. Les trois filles restantes à l'atelier, Marion, Hadja et Jessie, comprennent très vite que leur espoir de remporter le titre de Popstars 2007 est très mince. Après une heure d'attente et l'arrivée tardive du jury, Benjamin Chulvanij s'avance finalement vers Chérifa pour la proclamer grande lauréate de l'édition 2007 de Popstars.

Après sa victoire, Chérifa n'a même pas le temps de souffler. Dès le petit matin, elle embarque dans une voiture, direction le studio d'enregistrement, où elle va vivre sa première journée de véritable chanteuse. A peine arrivée et présentée à l'équipe, Cherifa prend place devant le micro pour enregistrer son premier titre. Son album sortira le 19 novembre, sous le nom de Sheryfa Luna, mais en attendant, on peut d'ores et déjà écouter son nouveau titre "Quelque part" qu'on avait déjà pu l'entendre lors des évaluations finales.

Au passage, la reprise de la Star Academy depuis une semaine, un candidat nous quittera au terme de l'émission du vendredi 2 novembre. Bref je trouve les candidats pas top top, je ne vois qu'une gagnante potentielle : Maureen.

Cependant pour revenir à Popstars dans un futur article je parlerais de mes 3 coups de coeur de l'émission Popstars 2007 : Marion, Léa et le groupe composé de Isaac, Zack, Moussa et Jessie qui auraient pu gagner. Mais pour l'heure, voici en exclusivité le vidéoclip de Sherifa Luna (bon visionnage !) :

Enfin, se diront ses fans. Paris Hilton décroche un premier rôle dans un film. Elle devrait tenir le haut de l’affiche dans une comédie romantique, "The Hottie And The Nottie", réalisée par Tom Putnam.

Paris Hilton interprétera Cristabelle, une belle jeune femme qui refuse d'épouser son petit ami Nate tant que son hideuse et meilleure amie n’aura pas trouvé quelqu’un.

Dans cette comédie, dont la sortie est prévue en février 2008 (pour la saint valentin), on devrait retrouver Paris Hilton (Cristabelle Abbott), Joel David Moore (Nate Cooper), Christine Lakin (June Phigg – l’hideuse petite amie et à noter qu'il me semble que cette actrice avait joué Al Lambert dans "Notre Belle Famille" !), et Johann Urb.

Une femme d'une soixantaine d'années circulant à Vélib' est morte jeudi dernier après avoir été renversée par un camion-benne dans le 12e arrondissement de Paris. Il s'agit du premier accident mortel impliquant un utilisateur de Vélib' depuis le lancement de ce dispositif le 15 juillet.

Le chauffeur du camion, qui a tué accidentellement une cycliste circulant à Velib' jeudi dernier à Paris, possédait un permis de conduire portugais falsifié et a été écroué samedi.L'homme, âgé de 51 ans, a été déféré devant la justice au terme de sa garde à vue et placé en détention dans le cadre d'une procédure d'infraction à la législation sur les étrangers.

Pour conclure cet article, je terminerais par une drôle de citation du bloggeur Thomas Clément : "Je trouve étonnant que ça ne soit pas arrivé plus tôt vu la quantité de malades que je croise tous les jours. La dernière tendance lourde : téléphoner à vélo !!!"

L'Afrique du Sud, sacrée samedi 20 octobre, championne du monde de rugby, voit consacrer un arsenal sans doute plus complet que ses rivaux, mais surtout une excellence dans des vertus plus que jamais en vogue au Mondial 2007: défense, hyper-réalisme et résilience.

Le deuxième titre des Springboks (après 1995), quasiment au fond du trou il y a onze mois, ressert aussi un bon vieux cliché, asséné avec force - par l'Angleterre également - lors de ce Mondial à la Nouvelle-Zélande, l'Australie et la France: forme présumée et réputation valent moins que les prochaines 80 minutes.

Petit inventaire des clefs du succès sud-africain:

Les chiffres ne mentent pas. Avec Percy Montgomery, réalisateur numéro 1 (105 pts, 94% de réussite), Bryan Habana meilleur marqueur (8 essais, record de Lomu égalé), avec une touche souveraine (seule l'Australie fait mieux au décompte), les statistiques font des Boks les meilleurs, ou presque, dans tous les secteurs. Leur mêlée n'est pas conquérante ? Elle limite les dégâts, comme "experts" argentins et anglais s'en sont rendus compte.

Résilience : les Springboks ont la peau dure. Ebranlés à deux reprises (par les Tonga (30-25) en poule, les Fidji (37-20) en quarts, ils gardèrent la tête froide, quand d'autres ténors la perdaient, et rétablirent la situation. Et finalement, ils ont moins tremblé en demi-finales contre l'Argentine (37-13) et en finale contre l'Angleterre (15-6). Préparation + exécution + méthode = calme: tel est leur équation sans romance. Ils s'y sont tenus.

Il y a onze mois, l'entraîneur Jake White était à 80 minutes du limogeage, après un quasi-record de six défaites de rang. Sauvé par un succès sur l'Angleterre à Twickenham, il a tenu bon, et devient à présent roi des techniciens. Le rugby, l'histoire, ont la mémoire courte, comme a souvent souri White à mesure que tombaient les "favoris", Nouvelle-Zélande, Australie, France. En cela aussi, les Boks sont en phase avec ce Mondial.

Stabilité : White ne cache pas son admiration pour Clive Woodward, manageur de l'Angleterre championne en 2003. Comme lui, il a joué la stabilité envers un groupe de joueurs qu'il accompagne depuis longtemps, un mélange de champions du monde des moins de 21 ans de 1999 (Smit déjà capitaine) et de ceux de 2002, avec une pincée de grognards (Du Randt, Montgomery). Sa foi en eux sur quatre ans, malgré des moments durs, a payé.

Défense-dissuasion : les Boks voulaient égaler leurs glorieux anciens de 1995: ils y sont parvenus au-delà de leurs espérances, avec une finale sans goût ni grâce, sans essai comme en 1995. A défaut, on peut donc louer leur abnégation et agressivité en défense, avec mobilisation générale et réorganisation rapide: 648 plaquages à ce Mondial, neuf essais encaissés certes, mais un seul dans les "gros" matches (Angleterre deux fois, Argentine). Une étanchéité qui décourage la prise de risques. De la dissuasion, quoi.

Et pourtant, ils jouent. L'efficacité offensive sud-africaine, patiente au premier tour (59-7 contre les Samoa, 36-0 contre l'Angleterre), a crevé l'écran en demie contre l'Argentine (37-13) avec quatre essais sur transformations ultra rapides de jeu à partir de miettes récupérées. Les Boks ont marqué 33 essais (seuls les All Blacks ont fait mieux). En Habana, Steyn, Pietersen, ils ont des "gamebreakers" décisifs dont rêverait toute sélection. Et qu'on rêverait de voir investis d'un rôle plus prépondérant. Pas à ce Mondial de pourcentage.

Le facteur "arc-en-ciel" : le contexte politico-racial si particulier de l'Afrique du Sud post-apartheid, de son sport jadis complice, pèse souvent sur les Boks. A l'inverse, quand le jeune Etat multiracial se range ostensiblement derrière son XV - le président Thabo Mbeki au milieu des joueurs, les messages de Nelson Mandela -, ils assurent y puiser "quelque chose de spécial". Après l'éphémère euphorie de 1995, à eux, cette fois, de transformer l'essai.